Que je vous présente Edmée...
Je suis née sous le nom d'Edmée De Xhavée au début de cette année 2007, lorsqu'un éditeur - que j'appelle maintenant "mon éditeur" - a accepté de publier mon premier roman, "Les Romanichels". Edmée est quand même un de mes quatre prénoms, et celui de ma grand-mère maternelle.
Les Romanichels, c'est un roman que je désirais beaucoup voir publié, bien que je l'aie écrit sans du tout y penser. Je l'ai écrit pour immortaliser des choses, et en chasser d'autres. Ce n'est pas le premier roman auquel je m'attaque, mais le premier que je termine: deux autres ont eu une mort précoce parce que ma vie avait perdu de sa sérénité et qu'alors, on se débrouillait encore avec la machine à écrire et du tipex! Dans une vie bouleversée, ça fait beaucoup d'embûches!
Je suis née à Verviers, cité lainière en Belgique, et ai grandi pendant le déclin de cette industrie. Mais j'ai toujours eu envie d'aller ailleurs, ailleurs. C'est normal: les familles de lainiers voyageaient, avaient des choses insolites à raconter, des disques de cire étranges à écouter. Chez moi on parlait d'Argentine et d'Australie, de gauchos, de passage de l'équateur en bateau, d'oncles et de tantes nés dans des villes aux noms ensoleillés. Et donc je suis partie mais pas aussi loin: la Provence, pendant plusieurs années, l'Italie pendant plusieurs autres, et maintenant, les Etats Unis d'Amérique depuis 12 ans. Mais de plus en plus mes racines me tirent, et il est bien probable que je revienne un jour pas bien loin de mon lieu de naissance.
Je suis mariée avec un homme tranquille qui ne ressemble pas à John Wayne (heureusement!) et j'ai cinq chats, et un chien.
Les Romanichels, c'est un roman que je désirais beaucoup voir publié, bien que je l'aie écrit sans du tout y penser. Je l'ai écrit pour immortaliser des choses, et en chasser d'autres. Ce n'est pas le premier roman auquel je m'attaque, mais le premier que je termine: deux autres ont eu une mort précoce parce que ma vie avait perdu de sa sérénité et qu'alors, on se débrouillait encore avec la machine à écrire et du tipex! Dans une vie bouleversée, ça fait beaucoup d'embûches!
Je suis née à Verviers, cité lainière en Belgique, et ai grandi pendant le déclin de cette industrie. Mais j'ai toujours eu envie d'aller ailleurs, ailleurs. C'est normal: les familles de lainiers voyageaient, avaient des choses insolites à raconter, des disques de cire étranges à écouter. Chez moi on parlait d'Argentine et d'Australie, de gauchos, de passage de l'équateur en bateau, d'oncles et de tantes nés dans des villes aux noms ensoleillés. Et donc je suis partie mais pas aussi loin: la Provence, pendant plusieurs années, l'Italie pendant plusieurs autres, et maintenant, les Etats Unis d'Amérique depuis 12 ans. Mais de plus en plus mes racines me tirent, et il est bien probable que je revienne un jour pas bien loin de mon lieu de naissance.
Je suis mariée avec un homme tranquille qui ne ressemble pas à John Wayne (heureusement!) et j'ai cinq chats, et un chien.